
Une promenade au bord de l'eau,
Aux trémolos des p'tits oiseaux,
Suffit pour que tous les jours semblent beaux,
Quand on s'promène au bord de l'eau.
Une promenade au bord de l'eau,
Aux trémolos des p'tits oiseaux,
Suffit pour que tous les jours semblent beaux,
Quand on s'promène au bord de l'eau.
Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Charles Aznavour
Lorsque le chalutier rentre au port,
escorté par un incessant ballet de mouettes rieuses,
au cri strident et intéressé,
on sait déjà que la pêche a été bonne.
Prudence et surtout pas question de KITESURF et pourtant
Croix-de-Vie est le 1er port de l'Atlantique pour le tonnage des sardines.
Les marins pêcheurs ont des conditions de travail très difficiles.
Ils doivent pêcher la nuit et donc rester éveillés,
Il leur faut s'habituer au froid, être patients,
tout maîtriser s'il y a une forte tempête,
et accepter de ne plus avoir de lien avec la terre
car la durée de pêche peut varier d'une nuit à plusieurs jours.
Nos marins sont des gens courageux et endurants !
Cette plage de Noirmoutier déploie une courbe harmonieuse de sable fin.
Les Dames, dont elle porte le nom et qui y rôdent encore, sont Druidesses,
Celles qui aimaient, dit-on, venir cueillir le mimosa dans le bois d’à côté.
Il y a si peu de temps, entre vivre et mourir,
Qu’il faudrait bien, pourtant, s’arrêter de courir,
Et prendre un peu le temps de voir les fleurs s’ouvrir.
Barbara
L'île aux mimosas
« Vouloir, c’est pouvoir !!! » dit on ?
Mais comment peut-on faire en pleine tourmente ?
Crier du fond de l’abîme ? Qui donc écouterait ?
Autant jeter une bouteille à la mer,
La mer est immense, sur mon radeau de survie, j’ai peur !!!
Quand soudain, dans la tempête, les lumières d’un phare,
Maintenant, je n’ai plus peur de « vouloir » !!!
Vers un havre de Vie, il me conduit …
Ce qui importe dans la vie,
Ce n’est pas l’endroit où nous sommes,
Mais la direction que nous prenons …
Mon chemin caracole entre le temps, l'espace,
Jouant à chat perché comme à saute-mouton,
En se faisant mutin quand la bergère passe,
Il rajoute une fleur au col de son veston !
Pour couronner l'été, s'habillant de verdure,
Il offre au promeneur des senteurs et des chants ;
On y vient oublier combien la vie est dure
Dans les bras de bruyère et de soleils couchants…
Ami du pèlerin il en fait un surhomme
Tandis qu'il vire vire et monte et redescend ;
Si d'aucuns de penser : « Tout chemin mène à Rome »,
Le sentier dont je parle est vraiment ravissant,
Il préfère aux honneurs la caresse divine,
Celle que l'on reçoit dans le feu du matin
Dès qu'un rayon de ciel s'échappe et puis ravine
Pour fondre tout son or au creux d'un serpentin !
Mon chemin de bruyère